Le 31 janvier 1991, Léo Elso débarque sur Terre. Baigné dans un milieu créatif, il rêve très tôt de devenir artiste mais sera vite confronté à l’exigence du métier et tombera maintes fois avant de se relever.

A 6 ans, il supplie ses parents de s’exercer au piano mais il n’est pas Mozart. À 12 ans, il se prend une claque musicale en découvrant le rock, mais il n’a rien de Radiohead, Dionysos ou Queen, ses premières idoles. À 15 ans il se met à la guitare et écrit sa 1ère chanson portant sur l’histoire - imaginaire - que sa copine le plaque pour Julien Doré. Il déborde d’imagination et se voit en bébé rockeur, sans comprendre pourquoi il ne fait pas déjà partie de l’équation. Pour passer de la désillusion à l’action, il s’envole Outre-Manche, qui deviendra sa terre d’accueil. Léo a 19 ans et la ville du rock lui ouvre les bras à coups d’espoirs et de bâtons. Là-bas, il intègre la très reconnue The MTA (The Musical Theatre Academy London) pour se former à la comédie musicale, un art total qui a l’avantage de réunir ses 2 passions : la comédie et la chanson.

À Londres, il va nourrir sa boulimie de musique, jongler entre 5 boulots, cultiver l’accumulation de savoir-faire pour passer les castings, apprendre à encaisser les rejets, rêver grand et se faire malmener méchamment. Il arpente le West End dans The Grinning Man, interprète Tom Springfeld dans Dusty au Charing Cross Theatre ou encore Oronte dans Le Misanthrope. Il tourne sous la houlette d’Andy Serkis pour un projet de motion capture, se produit sous les traits d’un Rhinocéros à claquettes aux côtés de David Gilmour et Gary Booker au Hammersmith Apollo, puis présente l’ouverture du West End Eurovision 2018 au Adelphi Theatre.

Le reste du temps, il participe à plus d’une dizaine de groupes et projets musicaux… Sa ville d’adoption aura donc l’immense avantage d’être une source majeure d’inspiration, et deviendra même le personnage principale, mi-ange mi-démon, de son 1er album. Accompagné de son groupe de 4 musiciens (Alexis, guitare rythmique, Clément, guitare Lead, Le Mac, basse et Dam’s, batterie) Léo Elso aime le mélange des genres et se montre impertinent envers les modes et les conventions. Il a « Tout À Prouver », titre de son 1er single aux rythmiques énergiques qui transpirent ses angoisses mêlées à la poursuite de ses ambitions.